Romina : animatrice et chroniqueuse

En tant que passionnée de culture Hip-Hop et activiste de ce mouvement, c’est au travers de la danse que Romina que a découvert cet univers. Elle tient à honorer cette culture en lui offrant une tribune d’une heure lors de son émission, en donnant la parole à des artistes issus de ce milieu.

Dans Résilience 2.0, on parle de la profondeur qui se cache derrière la démarche artistique des invités : quels sont les éléments de leurs parcours les ayant conduits à devenir artistes ? Dans quel mesure le Hip-Hop est-il passé pour eux de simple exutoire à élément déclencheur de leur résilience? Chaque semaine on découvre des personnalités inspirantes et au parcours qui le sont tout autant.

Parcours:

Romina a de multiples casquettes : danseuse, chorégraphe, autrice et aussi réalisatrice. C’est au travers de son documentaire Facce Nere, un hommage aux mineurs italiens de Belgique, qu’elle tissera des liens avec Radio Prima.

Fin 2021, elle deviendra par la suite co-animatrice et chroniqueuse dans l’émission « Pop Prima », pour ensuite avoir sa propre émission qu’elle décide d’intituler « Résilience 2.0 » tout comme son premier livre. Chaque lundi, elle partage avec ses invités la passion de l’univers Hip-Hop.

On la retrouve également un mercredi par mois aux côtés de Bérénice Gillot dans l’émission « L’art de dire ». Un rien mystique et humoristique, être dégantée et illuminée, la Fée-min sacrée s’invite le temps d’une chronique chez Bérénice afin de conscientiser les auditeurs sur les pouvoirs cachés qui habitent les êtres humains… A ne pas rater chaque premier mercredi du mois dans « L’art de dire ».

Ambitions

« Le fait d’apprendre de nouvelles compétences comme l’animation radiophonique ainsi que la chronique m’a permis de me découvrir sous un nouveau jour. J’adore écrire mais animer est un exercice qui me plait également. Néanmoins, ce que je préfère par dessus tout est la production d’émission, je trouve cela très stimulant et ça me donne envie d’aller plus loin que la radio, pourquoi pas en télé. Je m’inspire de grands producteurs et animateurs tels que Thierry Ardisson, Juliette Fievet, André Bercoff en passant par Faustine Bollaert. »